LAST SPRING: A Prequel

Générique

Conception et réalisation Gisèle Vienne
Texte et dramaturgie Dennis Cooper
Voix Jonathan Capdevielle
Musique Peter Rehberg & Stephen O’Malley
Lumière Patrick Riou
Réalisation des poupées et animations Raphaël Rubbens,
Dorothéa Vienne-Pollak, Nicolas Herlin (CLSFX) & Gisèle Vienne

Dessin mural Stephen O’Malley
Installation sonore et programmation Gérard d’Elia
Réalisation électronique et programmation des poupées robotisées Nicolas Darrot
Traduction de l’américain au français Laurence Viallet

Partenaires

Production déléguée DACM

Coproduction Le Quartz – Scène nationale de Brest // Le Parvis – Scène nationale de Tarbes-Pyrénées // Centre Pompidou, Paris

Avec le soutien de Passerelle Centre d’art contemporain, Brest // HARD HAT, Genève

Avec le soutien du Conseil Général de l’Isère

Présentation

En 2011, Gisèle Vienne et Dennis Cooper ont créé LAST SPRING: A Prequel, une mise en scène sous forme d’installation qui s’articule avec LAST SPRING: (sous-titre en cours) et forme avec elle les parties d’un vaste projet que nous intitulons LAST SPRING. Ces deux installations, qui sont conçues de manière autonome, sont donc les jalons d’un projet dont il est significatif de développer déjà deux parties, afin d’en affirmer la nature même.
LAST SPRING: A Prequel met en scène un adolescent incarné par une poupée ventriloque et animée qui interprète un dialogue schizophrénique avec une marionnette à gaine. Cet adolescent évoque notre second projet, LAST SPRING: (sous-titre en cours), un espace à la réalité incertaine pour le spectateur, espace qui existe, a existé ou existera selon le moment où il sera présenté.
Dans LAST SPRING: A Prequel, l’adolescent a tenté de dessiner de manière obsessionnelle les plans de cet autre espace, dont l’architecture rappellerait un jeu. Il dévoile également l’architecture de cet espace à travers la structure même du texte qu’il interprète, et se retrouve piégé dans son propre dialogue. Ce faux bonimenteur nous fait découvrir ainsi de manière obscure les axes principaux qui régissent ce jeu, et en réalité sa psychose, de laquelle il ne peut s’échapper.

PREMIERE Du 15 mars au 30 avril 2011 à la Passerelle Centre d’art contemporain, Brest
Dans le cadre du Festival Anticodes’11 organisé par Le Quartz – Scène nationale de Brest